Electro Ethnic
En collaboration avec la galerie Kaxu, le Magneto organise un after du festival d’art de rue « Points de Vue« .
Electro Ethnic
En collaboration avec la galerie Kaxu, le Magneto organise un after du festival d’art de rue « Points de Vue« .
Native du Pays Basque, elle fait ses mains sur la scène Barcelonaise. ESTELLE.D dévoile tout son groove techno mêlant des sons ethniques aux rythmes punks et folkloriques.
C‘est en 2OO7 que Julie amorce un parcours engagé en tant qu’actrice pour la diffusion d’une musique électronique alternative. Elle participe à la création, avec des proches connaisseurs et passionnés, du collectif Manège Déjanté à bordeaux. La possibilité de se produire sur des évènements de grande envergure, en raves ou en clubs s’offrent à elle dès ses débuts derrière les decks. En parallèle, elle tombe amoureuse du Break Beat tout droit venue d’Angleterre. Elle s’exprime alors en distillant rythmes breakés et mélopées techno, en manipulant disques vinyles. Sans jamais s’enfermer dans un style, elle fusionne ses principales influences mais leur donne une intention : HYPNOTIQUE.
Julie VooDoo aborde, comprend et exprime la musique électronique par le Groove et se plait à expérimenter la mutation des morceaux : « Si le Groove est conservé et que la construction du morceau le permet, celui-ci est malléable à souhait, son utilisation devient multiple. » De 2015 à 2020, installée sur la cote Basque, elle rejoint le collectif Prism.
Elle évolue au sein de cette scène tout en préservant son goût pour les beats
mécaniques d’une techno lente, deep, parfois psyché.
Aujourd’hui elle se plait à naviguer dans un univers deep techno inspirée par des artistes tels que Polygonia, Donato Dozzy, Valentino Mora, Dorisburg, DashaRush mais évolue aussi dans un univers Downtempo, influencée par des artistes tels que Front de Cadeaux, Absis, Dino Sabatini ou encore John Talabot.
Et c’est riche de ce bagage artistique de 15 années de djing qu’elle s’autorise enfin à ouvrir la porte de la production, pour partager avec vous ses propres vibrations.
Bercé par la Funk et la disco dès son plus jeune âge, Bass-ka a très vite été attiré par la Basse et son Groove. À l’adolescence, il découvre la House, qui, pour lui, en est la digne héritière. Durant des années, il promeut ainsi une « French Touch » plutôt funky mélangée à du Breakbeat anglais qu’il affectionnait tout particulièrement à ce moment-là. Ses sons évoluent doucement vers l’Electro lorsqu’il se met à produire et se produire avec son duo « Dash Klusterz » puis son projet Live machine « The Weirds ». Le côté happy laisse petit à petit la place à des sons plus sombres, plus répétitifs, parfois même plus technoïdes mais tout aussi dansants. C’est l’avènement de l’Indie Dance et tout particulièrement de la Dark Disco, qui colle parfaitement à son évolution. Aujourd’hui, il mélange toutes ses influences pour des sets qui se veulent éclectiques et dynamiques en attendant d’avoir un nouveau live à pouvoir présenter bientôt. Bass-Ka a toujours contribué à promouvoir la musique électronique au Pays Basque en étant, tout d’abord, résident du Sonotone 1.0, membre fondateur de la Péña Astyanax et de la Dirty South Family, puis membre du Solar Sound System qui organise le NOUS Festival.